Adrien Rabiot pensait avoir trouvé son port d’attache à Marseille… mais le cauchemar recommence. Placé sur la liste des transferts après son clash XXL avec Jonathan Rowe, le milieu français vit un nouveau tournant sombre dans sa carrière.
Car son entourage hurle au complot. Romuald Palao, avocat de la famille, a dynamité la version officielle de l’OM sur RMC : « Manque d’investissement ? Baisse d’attitude ? C’est complètement faux ! ». Pour lui, Rowe n’était qu’un prétexte, la direction ayant déjà coché la case « Rabiot dehors ».
« Quand on veut noyer son chien, on dit qu’il a la rage », lâche Palao. Le clan crie à la cabale et dénonce une manœuvre pour libérer une place dans l’effectif en vue d’une nouvelle recrue. Coup monté ou réalité du vestiaire explosif ? Le mystère reste entier.
Le clash avec le PSG, puis avec les Bleus… et encore avec le PSG
Une chose est sûre : le feuilleton Rabiot ne fait que s’allonger. Le joueur n’en est pas à son premier coup d’éclat.
2014 (PSG) : Première mise à l’écart. Refus de prolonger, conflit ouvert avec Nasser Al-Khelaïfi. Laurent Blanc l’écarte du groupe pro et l’envoie un temps en réserve. Il finira par prolonger, mais la fracture avec Paris débute là.
2018 (EDF) : Adrien Rabiot refuse d’être réserviste pour la Coupe du Monde en Russie. Didier Deschamps le raye des Bleus, et la France sera championne du monde sans lui. Grosse claque médiatique, il passe pour un joueur capricieux. Mais Rabiot reviendra peu à peu en grâce alors que DD a besoin de taulier au milieu de terrain après la fin de l’ère Pogba.
2019 (PSG) : Nouvelle explosion. Refus de prolonger, conflit sur fond de futur transfert libre vers la Juventus. Le PSG le met à pied, il est écarté du groupe pro pendant 6 mois. Sa mère, Véronique Rabiot, monte au créneau contre le club.
2025 (OM) : Rebelote à Marseille. Après un an seulement, grosse bagarre avec Jonathan Rowe, insultes dans le vestiaire, attitude jugée inadmissible. Longoria, Benatia et De Zerbi ne veulent plus de lui : liste des transferts.
En gros, partout où il passe, l’histoire se termine en clash : PSG, équipe de France, PSG bis, et maintenant OM.
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