Mercredi à Barcelone, le PSG débarquera encore diminué. Dembélé, Doué, peut-être Kvaratskhelia… l’infirmerie déborde. Mais surprise : dans le vestiaire, la peur a laissé place à une drôle de philosophie.
Fini la psychose ? L’Équipe parlait lundi d’un climat anxieux, chaque joueur craignant d’être le prochain à tomber. Mais selon RMC Sport, certains voient désormais leur blessure comme un « mal pour un bien ».
Se blesser, c’est l’occasion de souffler, de refaire du foncier et de préparer la suite. Dans une saison sans pause, ces arrêts forcés deviennent presque une arme cachée pour être au top au printemps.
Un passage obligé pour se reposer ?
Dembélé s’est envolé au Qatar pour continuer sa rééducation à Aspetar et présenter son Ballon d’Or, Doué respecte à la lettre ses quatre semaines d’arrêt. Pendant ce temps, Luis Enrique répète son mantra : « Il faut rester positif ». Le staff médical, lui, ne veut prendre aucun risque : mieux vaut rater un match que six mois de compétition.
En clair, au PSG, la blessure n’est plus seulement une tuile. C’est devenu une pause stratégique, presque un passage obligé… et un bon moyen d’éviter la prochaine trêve internationale.
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